S entir le soleil sur ses jambes et l’eau fraîche du ruisseau E n s’asseyant sur le banc creusé comme un abri N ouer ses doigts à ceux de l’enfant, de l’ami, T enir la corde, le bâton, la poussette, la main I nventer le chant de la fête du lendemain R essentir la vie par tous les pores de sa peau
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